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FAQ

Vos questions, mes réponses

Vous souhaitez en savoir plus sur ma pratique ? Afin de vous aider à obtenir rapidement des réponses, j'ai compilé une liste des questions les plus fréquemment posées par mes client-e-s, élèves, participant-e-s, accompagnées de réponses complètes. Pour plus d'informations, contactez-moi.

Quelle est la différence entre le Yoga japonais (Do-in) et le Tao-Yin?

Le Tao-Yin est une pratique ancestrale chinoise qui serait apparue avant le Qi Gong et dont celui-ci serait issu. Habituellement, le Do-in (yoga japonais) est la version japonaise du Tao-Yin. Les deux présentent de nombreuses similitudes. 

En effet, les deux disciplines sont basées sur le calendrier énergétique chinois et la théorie des 5 éléments. L'une comme l'autre comprennent des étirements et des stimulations de méridiens d'acupuncture, du travail articulaire et des automassages. Enfin, les deux disciplines ont des objectifs communs : 

  • faire circuler le souffle vital (Qi en chinois, Ki en japonais),

  • lever les blocages/stagnations qui peuvent être à l'origine de tensions ou de douleur,

  • bouger en étant pleinement conscient.e des mouvements, des sensations, de la respiration, des parties du corps impliquées, 

  • développer la conscience du centre (Dan Tien en chinois, Hara en japonais) = être plus ancrée.e

  • se relaxer! 
     

La différence principale réside donc dans la manière dont je les ai apprises et dont je vous les transmets.

  • Pour le Do-in, mon approche théorique est très succincte. Au fil des semaines, j'évoque la saison énergétique, quelques-unes de ses caractéristiques et les méridiens à l'honneur dans cette saison. Ensuite, le cours consiste à venir étirer et stimuler ces méridiens, ainsi que toutes les parties du corps qu'ils traversent ou concernent, en pleine conscience. Ainsi votre corps s'adapte au mieux à la saison en cours. Vous en retirez des bénéfices notables (Cf. liste des objectifs ci-dessus). 

  • Dans les cours de Tao-Yin, je fais plus de place à la théorie de la médecine traditionnelle chinoise (MTC).  Ainsi, pendant 10-15 minutes, je détaille un aspect de cette approche. Ensuite, le cours pratique est dédié à le vivre et le ressentir. C'est souvent un voyage sensoriel au coeur de nos organes, tels que les conçoit l'approche taoïste (une des 3 philosophies à la base de la MTC). 
     

Comme toujours, les mots sont limités pour exprimer ce que le corps peut ressentir. Donc, vous êtes invité.e.s à essayer l'un ou l'autre cours pour vous faire une idée précise! 

Quelle est la différence entre le Yoga japonais et le Yoga?

Le Yoga japonais (Do-in), comme son nom l'indique, n'est pas une pratique originaire de l'Inde, contrairement à la plupart des styles de Yoga.

 

C'est une pratique d'échauffement et de récupération, basée sur la respiration et permettant de développer une grande conscience de soi, un meilleure ancrage (notamment au niveau du Hara, notre centre de gravité) et davantage de souplesse.  

 

Lors d'une séance de Yoga japonais, vous pratiquez des postures et des étirements et vous mobilisez vos articulations, comme en Yoga. En plus, vous effectuez des percussions et des frottements, sur différents endroits du corps. ​

Comme le yoga, le Do-in est une discipline ancestrale et populaire, dans le sens où elle peut-être pratiquée par tout le monde. Les exercices physiques sont complétés par la pratique de la méditation. 

​Contrairement au Yoga, le Do-in est basé sur la Médecine traditionnelle chinoise et le trajet des méridiens. Les cours sont construits en fonction du calendrier énergétique chinois et des mouvements énergétiques saisonniers.

​Comment savoir si c'est le yoga ou le Do-in qui est fait pour vous? Venez faire un essai gratuit dans l'un de nos cours! 

Quelles méthodes de paiement acceptez-vous?

J'accepte les paiements par chèques, par virement bancaire ou en espèces.

Qu'est-ce que le Ki?

Tout d'abord, il me semble utile d'indiquer que le "Ki" au Japon, correspond au "Qi" ou "Chi" en Chine et au Prana, en Inde. 

C'est un concept difficile à comprendre et à traduire pour nos cerveaux occidentaux. Surtout que l’existence du Ki n’est pas prouvée scientifiquement. C’est pourquoi, sans doute pour simplifier, on parle souvent d’énergie. Or, si la science occidentale mesure les énergies électrique, électromagnétique, nucléaire, mécanique, etc., elle ne mesure pas le Ki.

Cela revient-il à dire que le Ki n’existe pas? Eh bien non! Comme le dit si bien un acupuncteur que je connais, c’est juste que la science occidentale est en retard sur les traditions orientales pré scientifiques. D’ailleurs, à ce propos, il a raconté l’anecdote suivante. Lorsque les Occidentaux sont arrivés en Chine, ils ont observé les médecins chinois travailler sur les méridiens. (Pour mémoire, les méridiens sont les canaux dans lesquels circule le Ki.) Les Occidentaux ont tenté d’expliquer aux Orientaux que les méridiens n’existent pas, puisqu’on ne les voit pas anatomiquement, quand on dissèque un corps. Alors, les sages chinois ont répondu que, lorsqu’un mur est fissuré, si nous détruisons le mur, la fissure disparaît aussi. Cela ne signifie par pour autant qu’elle n’existait pas avant la destruction du mur.

Le Ki est ce qui précède la matière. Ensuite, il est ce qui la compose. C’est aussi le Ki qui insuffle la vie et l'anime. Enfin, quand il n’y a rien, il y a encore du Ki. Pour aller plus loin, nous pouvons dire que le Ki est impliqué dans nos mouvements, dans nos pensées, dans nos émotions (qui sont étymologiquement de l’énergie en mouvement), dans nos malaises et dans nos joies. D’une part, une concentration de Ki donne de la matière, de la densité, de la force, voire de la tension. D’autre part, une absence de Ki crée de l’espace, de la détente ou de la fatigue.

 

En résumé et même si c’est imprécis, le Ki est quelque chose d’invisible et d’impalpable à l’origine du visible et du palpable. Il peut prendre la forme des énergies identifiées par la science occidentale. De plus, c’est aussi l’énergie psychique qui s’exprime par nos émotions et se traduit dans notre corps.

Quelle est la différence entre le Shiatsu et le Reiki?

Les deux approches sont originaires du Japon, se pratiquent par dessus les vêtements et visent à défaire les blocages qui sont à l'origine de vos malaises et inconforts. 

Le Shiatsu est une méthode de soin manuelle, qui implique un contact physique. Pendant la séance, vous êtes allongé-e sur un futon et vous sentez des appuis, des étirements et des mobilisatons articulaires. Vous êtes invité-e à écouter ce qui se passe dans votre corps, au niveau de la circulation du Ki, des douleurs, des appuis, des émotions, etc. 

Le Reiki est un soin énergétique, qui s'apparente davantage à une séance de magnétisme. Votre corps n'a pas besoin d'être touché pour capter l'énergie. Lorsque je pose mes mains sur votre corps, le toucher est léger. Vous êtes invité-e à écouter comment vibre votre corps, mais souvent, ce dernier choisit de s'endormir pour laisser le travail énergétique opérer. 

Comment choisir? 

Si vous aimez les massages, avez besoin d'un contact physique et d'être attentif à ce qui se passe dans votre corps, optez pour le Shiatsu. Si vous préférez les soins de type magnétisme, optez pour le Reiki. 

Si vous n'arrivez pas à faire un choix, contactez-moi afin que nous en parlions ensemble! 

Puis-je recevoir un Shiatsu si je suis enceinte?

La grossesse est une période de transformation extraordinaire. Pendant cette phase unique de votre vie, le Shiatsu peut vous accompagner. Comme il favorise la circulation du Ki dans les méridiens, il aide à réduire les inconforts:

  • directement liés à votre grossesse, tels que les nausées, les maux de dos, la fatigue et les changements émotionnels, les jambes lourdes, 

  • et ceux qui ne sont pas liés à votre état, tels que les migraines, les troubles digestifs, du sommeil, etc. 


Aussi, je vous propose un moment de douceur qui vous permettra de vous détendre, de libérer le bassin, le dos et/ou les hanches. 

 

Témoignage d'une maman : “J’ai senti que le bébé se calait mieux dans le ventre les jours qui ont suivi le Shiatsu : moins de coups brusques, il trouvait place dans la nouvelle mobilité du bassin.”

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